mardi 8 mai 2012

étapes de pardon de soi


En écrivant ou en prononçant le pardon de soi, il est conseillé que vous utilisiez la déclaration « Je me pardonne de m’être accepté et permis… ».

Car en cela, vous prenez clairement la responsabilité de vous-même, réalisant que c’est à travers votre acceptation et votre permission que vous êtes qui vous êtes, que vous vous vivez vous et votre vie de la façon dont vous le faîtes.


Ecrivez des déclarations de pardon de soi au hasard, inconditionnellement, spontanément, ce qui est ici / ce qui vient dans l’esprit dans le moment.

Ou : Ecrivez ce que vous ressentez, ce que vous vivez, ce que vous pensez inconditionnellement, spontanément.

J’appellerais ça S’Ecrire Vers la Liberté.
D’ici, vous verrez qu’un point s’ouvre.

Par exemple : la peur du jugement.

Afin d’explorer tous les coins et aspects d’un point, il y a ici quelques questions qui aident :
De quoi est-ce que j’ai peur d’être jugé ?
Qui m’a jugé de cette façon dans le passé ?
Comment ai-je réagi dans le passé ?
Quelles émotions étaient impliquées ?
Comment je m’en suis sorti avec ces émotions – quelle action ai-je prise ?
Qui suis-je / comment est-ce que je me perçois dans la situation d’être jugé ?
Comment est-ce que je perçois la personne qui me juge ?
Où dans ma vie est-ce que je juge les autres de la façon dont j’ai peur d’être jugé ?
Quelle opinion/croyance/conclusion ai-je créée de l’intérieur de telles expériences ?
Quelle définition de moi ai-je créé et vécue en fonction de telles expériences ?


Prenons l’exemple du blâme.
Par exemple, vous réalisez que vous blâmez votre mère de votre état d’être.

Quelles questions sont pertinentes ?
1. Puis-je écrire tout ce dont je blâme ma mère ? (Faîtes-le.)
2. Qui suis-je / comment est-ce que je me perçois en cela ?
3. Comment est-ce que je perçois ma mère en cela ?
4. Comment est-ce que je perçois la relation avec ma mère ?
5. Qui suis-je dans cette relation ?
6. Comment est-ce que je me sens par rapport à moi-même ? Quelle émotion, quelle opinion est impliquée ?
7. Où est-ce que je blâme ma mère ?
8. Comment est-ce que je me sens par rapport à ma mère ? Quelle émotion, quelle opinion est impliquée ?
9. Où est-ce que je blâme les autres de la façon dont je blâme ma mère ?
10. Quelles conclusions / implications est-ce que je fais de moi-même et de ma vie selon ce blâme ?
11. Qu’est-ce que cela implique ?
12. Où est-ce que je place plus de valeur à ‘avoir raison’ qu’à prendre la responsabilité de moi-même et à me diriger moi-même pour changer ?
13. Comment me suis-je justifié de sorte à ne pas avoir à changer ?



Voyez, dépendant du point avec lequel vous traitez – vous pouvez poser toutes les questions possibles pour être sûr que vous ne manquez pas quelque chose.
Pendant que vous développez la réponse à une question, vous devez être très spécifique – ne faîtes pas des généralisations. Demandez-vous toujours : De quoi ai-je peur, qu’est-ce que je juge/désire, qu’est-ce que cela implique – par exemple. Ca doit être spécifique à vous et à comment vous vivez votre vie.

Comme vous le voyez, les questions sont placés du point de vue de :
pensée/croyance, opinion/jugement, implication,
émotion, peur, désir/besoin, justification,
schéma/habitude/mécanisme de défense, justification.




Je vais vous présentez une autre façon structurée de vous assurer que vous ne manquez pas un point (vous trouverez un exemple spécifique pratique de cela plus tard dans ce document) :

Je me pardonne de m’être accepté et permis de
1, parce que A et B.
Je me pardonne de m’être accepté et permis de A.
Je me pardonne de ne pas m’être permis de réaliser que A implique…
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’utiliser A pour justifier 1, au lieu de….
Je me pardonne de m’être accepté et permis de B.
Je me pardonne de ne pas m’être permis de réaliser que B implique que je….
Je me pardonne de m’être accepté et permis de B – plutôt que….
Je me pardonne de ne pas m’être permis de voir et de réalisez que A et B indiquent que je suis 2

Et ainsi vous vous permettez de DEPLOYER les schémas que vous avez acceptés et permis d’être et de devenir – VOUS permettant de VOUS VOIR.
Vous allez et regardez CHAQUE MOT du point 1 et vous examinez CHAQUE MOT en termes de croyance, d’émotion, de jugement, d’opinion, de justification, d’implication.
Tandis que vous faîtes ce déploiement, un autre point va s’ouvrir, point numéro 2, relatif au point numéro 1. Maintenant vous continuez de la même façon jusqu’à ce que vous vous sentiez VIDE, jusqu’à ce que vous ressentiez physiquement un vide – alors vous savez qu’il n’y a rien de caché et que vous avez tous les point relatifs à votre sujet.




Application correctrice :
Le pardon de soi est inutile sans l’application correctrice autodirigée. Vous appliquez le pardon de soi pour voir vos acceptations et permissions comme une personnalité préprogrammée – et de, à partir de là, vous diriger vous-même pour STOPPER, pour CHANGER de sorte à HONORER LA VIE en tant que VOUS-MÊME comme tout comme un comme égal.
Vous pouvez mettre au point votre application correctrice en tant que déclarations de vision/réalisation en termes de qui vous êtes et de qui/quoi vous n’êtes pas ET en termes de ce que vous accepterez et permettrez et de ce que vous n’accepterez et ne permettrez pas de vous-même comme VIE.

Par exemple :
Je ne suis pas mes émotions. Je ne m’accepte ou ne me permets pas d’être dirigé par mes émotions.
Je réalise que les émotions sont de simples réactions, programmées et conditionnées à venir dans certaines situations.
Je ne m’accepte ou ne me permets pas d’exister comme un programme conditionné. Je me dirige ici. Je suis le principe directif de moi-même et de ma réalité.


Vous pouvez mettre au point votre application correctrice au moment où vous voyez/réalisez qui vous êtes VRAIMENT et comment vous voudriez vous exprimer d’une façon qui vous honorerait comme égal et un avec toute vie.

Vous pouvez mettre au point votre application correctrice dans la déclaration du pardon de soi en utilisant les mots « au lieu de ».
Par exemple :
Je me pardonne de m’être accepté et permis de placer de l’espoir dans mes enfants/parents – au lieu de prendre la responsabilité de moi-même et de me diriger moi-même égal et un.




DEPLOIEMENT

Prenons une déclaration spécifique au hasard à utiliser comme exemple pratique de déploiement (les mots/déclarations soulignés sont ceux qui nécessitent de se questionner) :

J’ai parlé avec de la colère envers mon compagnon quand il m’a demandé quelle heure il était.

Je me pardonne de m’être accepté et permis de parler à mon compagnon dans la colère.
(Qu’est-ce que j’ai ressenti dans cette colère ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’être en colère car il ne m’a pas donné l’attention que je cherchais et parce qu’au lieu de me donner de l’attention il était intéressé de savoir quelle heure il était.
(Quelles autres émotions sont ici ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis de me sentir ignorée/rejetée/pas aimée parce que mon compagnon ne m’a pas donné l’attention que j’attendais.
(Ici la possibilité d’inverser = de voir comment je fais moi-même ce dont je blâme les autres de ‘me faire à moi’) :
Je me pardonne de m’être accepté et permis de m’ignorer.
Je me pardonne de m’être accepté et permis de me rejeter.
Je me pardonne de ne pas m’être permis de m’aimer.
(Ici un déploiement plus poussé est possible par la question : Quand est-ce que je me sens ignorée/rejetée/pas aimée ? Avec quel genre de personnes est-ce que je ressens de telles émotions ? Comme me suis-je définie moi-même avec/envers de telles personnes ? Qu’est-ce que cela implique ?)
Je continue : (Qu’est-ce que j’attendais de mon compagnon ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’attendre de mon compagnon/des autres de voir comment je me sens et qu’ils me réconfortent/qu’ils fassent que je me sente mieux – au lieu de m’amener moi à parler et à m’exprimer s’il y a quelque chose que je veux partager.
Je me pardonne de m’être accepté et permis de blâmer mon compagnon parce qu’il n’a pas réagi à mon état émotionnel – au lieu de réaliser que je suis responsable de mes émotions/réactions.
(Quand est-ce que j’utilise le blâme ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’utiliser le blâme pour me distraire de moi ici et pour donner ma responsabilité envers moi.
(Pourquoi est-ce que je donne ma responsabilité envers moi ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis de donner ma responsabilité envers moi aux autres/à Dieu/à la spiritualité (par exemple) parce que je me suis sentie moins que les autres/Dieu/etc.
(Pourquoi est-ce que j’attendais de l’attention ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’attendre/d’avoir besoin/de désirer de l’attention de mon compagnon pour me sentir estimée/mieux par rapport à moi-même/pour me sentir aimée.
(Qu’est-ce que cela implique ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis de placer de la valeur personnelle et de l’amour dans ‘avoir l’attention d’un autre’.
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’exister dans et comme désir/besoin/attente – au lieu de vivre et de m’exprimer ici dans l’auto-dirigée responsabilité de soi.
Je me pardonne de m’être accepté et permis de définir l’amour comme ‘avoir l’attention d’un autre/de mon compagnon’ parce que je ne me suis pas permis de donner attention à moi-même et de m’aimer moi-même.
(Pourquoi ai-je séparé attention, valeur personnelle et amour de qui je suis ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis de séparer attention, valeur personnelle et amour de qui je suis – parce que j’ai cru que quelqu’un d’autre devait faire ça pour moi.
(Qu’est-ce que cela implique ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’exister dans et comme la croyance que la vie vaut d’être vécue/cela vaille que je vive seulement quand quelqu’un d’autre s’occupe de moi et me donne de l’attention - que j’ai défini comme amour – au lieu de m’aimer moi-même et de m’occuper de moi-même.
(Comment ai-je manifesté / ai-je créé cela ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’exister dans et comme le souvenir de mon père (par exemple) qui me réconfortait quand je me sentais mal, qui faisait que je me sente mieux, par conséquent si mon compagnon ne réagit pas à mon état émotionnel, cela veut dire (= ma conclusion de l’esprit) qu’il ne m’aime pas/je n’ai pas de valeur.
Je me pardonne de m’être accepté et permis de dépendre des autres pour faire que je me sente mieux – au lieu d’être responsable de moi et de m’occuper de moi.
(Quelles sont les situations dans ma vie où je me suis sentie estimée ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis de rendre ma valeur personnelle dépendante des autres qui me valident – et donc de me sentir estimée seulement quand d’autres me gratifient moi et/ou mon travail, sont fiers de moi, m’expriment leur affection ou sont satisfaits de moi.
(Qu’est-ce que cela implique ?)
Je me pardonne de m’être accepté et permis d’exister à travers la satisfaction des autres parce que je me suis placée moi-même moins que les autres.


D’ici il est évident que les points suivants (en corrélation) s’ouvrent :
« dépendre des autres pour sentir que la vie vaut d’être vécue/cela valle que je vive »
« valeur personnelle à travers la satisfaction des autres »
« me mettre en infériorité / moins que les autres »

D’ici un plus profond déploiement est requis.


Fascinant comment vous pouvez d’un point/une réalisation/déclaration « J’ai parlé avec de la colère envers mon compagnon quand il m’a demandé quelle heure il était » réaliser une construction/un schéma complet de comment vous vous êtes accepté et permis d’exister.

Par Bella


Enjoy : )

1 commentaire: