mardi 31 mai 2011

Pardon de Soi - Mes Regrets

Je me pardonne de m’avoir permis de regretter la vie que j’ai créée pour moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir écouté ceux qui m’ont mis en garde de mon style de vie erratique lorsque j’étais jeune. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir écouté mon enseignant d’informatique lorsqu’il m’eut dit de faire attention à mon style de vie « aléatoire ».Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir suivi les conseils de Redha lorsque je travaillais pour Bell Sympatico, alors qu’il m’eut prévenu que ma naïveté n’allait pas me servir dans la vie.Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas m’avoir pris aux sérieux lorsque j’étais aux études, en particulier lorsque j’étudiais en communication et en informatique.Je me pardonne de m’avoir permis de regretter d’avoir étudier en communication que pour « passer le temps ».Je me pardonne de m’avoir permis de regretter le temps ou j’avais des broches pour acquis.a vie.Je me pardonne de m’avoir permis de regretter le temps où j’avais des broches comme étant « sans importance ».Je me pardonne de m’avoir permis de regretter le temps où j'avais des broches comme étant inconséquent dans ma vie.
Je me pardonne de m’avoir permis de justifier la période où j’avais mes broches comme étant une période ou je n'étais pas vraiment moi-même.Je me pardonne de m’avoir permis d’utiliser l’excuse que celui que j'étais vraiment n'étais pas encore présent alors que j’étais dans la période de ma vie où je portais des broches.Je me pardonne de m’avoir permis d’utiliser l’excuse et de croire que celui que j'étais vraiment était contenu dans l'espoir de celui que j'allais être une fois seulement que je n'aurais plus mes broches. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir leurrer à croire que j'allais être une plus belle personne que lorsque j'allais ne plus avoir mes broches. Je me pardonne de m’avoir permis de négliger la personne que j'étais dans la période où j'avais mes broches, sous le prétexte que je n'étais pas "moi-même" et que tout ce que je faisais alors était inconséquent à celui que j'étais dans ma tête, puisque celui que j'étais dans ma tête était "inconnu" donc "insaisissable" et "invincible" puisque "inconnu" donc "inaperçu". Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir perdu dans mes espoirs futurs et de ne pas m'avoir permis de m'exprimer pour celui que j'étais dans la période ou je portais mes broches. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que j’allais avoir une meilleure vie si ma mâchoire allait être corrigé. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir dit que j'allais me tuer si je n'allais pas avoir l'opération qui consistait à changer mon visage afin de corriger la difformité que je percevais comme étant à la cause de toutes mes souffrances. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir blâmé ma mâchoire comme étant la cause de toutes mes souffrances dans la vie.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir blâmé mon visage comme étant à la cause de toutes mes souffrances dans ma vie, qui se sont présentées plus souvent qu'autrement sous forme de rejet de mes pairs. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir donné du pouvoir aux opinions des autres, en particuliers des élèves que je côtoyais durant mon adolescence, qui me disaient que j'étais laid et que j'étais un extra-terrestre. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir donné raison à ceux qui ont dit que j'étais laid et par le fait même, que j'étais inférieur à eux. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir étendu mon complexe d'infériorité sur toute l'humanité parce que je n'ai pas eu le courage de vivre honnêtement en tant que qui je suis vraiment, plutôt que de vivre à me cacher sous un masque d’apparence seulement. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir vécu ma vie à porter un masque parce que j'avais terriblement peur d'être vu pour qui je suis sans mon masque. Je me pardonne de m’avoir permis d’avoir eu peur d’être vu pour qui je suis sans mon masque. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que mon masque est qui je suis et d'avoir supprimer et négliger ma véritable identité qui se cachais sous mon masque. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir supprimé et de m'avoir négliger en tant que l'expression honnête de qui je suis derrière mon masque. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas m'avoir levé contre l'oppression des élèves qui se moquaient de moi lorsque j'étais adolescent. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir soumis à la peur d'être ridiculisé si je m'exprimais pour ce que je ressentais en mon intérieur lorsque j'étais opprimé par les étudiants alors que j'étais au secondaire. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas m'avoir levé lorsqu'on me lançaient des objets sur la tête en me criant des insultes simplement parce que j'étais différent des autres. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir définis comme étant laid, donc inférieur aux autres, parce que c'est ce que les autres me faisaient sentir lorsqu'ils se moquaient de moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir donner mon pouvoir d'expression aux sentiments d'infériorité que je ressentais lorsque je me faisais ridiculisé par les étudiants lorsque j'étais adolescent et d’ainsi donc, m’être refermé sur moi-même plutôt que prendre position et me lever pour qui je suis en tant que un et égal à tout le monde. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas m'avoir permis de me lever contre l'oppression lorsqu’on riait de moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir donné plus d'effort pour réussir lorsque j'étais aux études. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir été populaire auprès des filles lorsque j'étais adolescent. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir eu de relations sexuelles avec une fille lorsque j'étais adolescent. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir eu de relations sexuelles avec Sandra Bérubé lorsque j'étais à la fin de mon adolescence.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir demandé à la petite amie de Sandra Bérubé de 11 ans, de faire l'amour avec moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir écouté mes sentiments et mes émotions lorsque je sentais en moi qu'une opportunité de développer une relation avec une fille se présentait devant moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir su passer à l'action lorsque mes émotions et mes sentiments me disaient que j'étais désiré par la fille qui était devant moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir négligé mes sentiments et mes émotions lorsqu'ils me disaient que j'étais désiré par une fille. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir mis ma confiance seulement en ma raison pour déterminé si j'avais une chance ou non avec une fille. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir écouté et agis sur mes émotions lorsqu'ils me disaient que j'étais désiré par une fille, et ce sans équivoque. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir douté de mes émotions et mes sentiments envers une fille lorsque ces derniers étaient si intense qu’ils ne laissaient aucuns doutes. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter n'avoir pas donner raison à mes sentiments et à mes émotions lorsqu'ils me disaient que j'étais désiré par la fille sur laquelle était placé mon attention. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir continuellement eu recours à ma raison uniquement pour identifier si j'avais une chance ou non avec une fille. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter m'avoir permis de me séparer de mes émotions et de mes sentiments pour n'écouter que ma raison rationnelle et empirique lorsque venait les moments ou je sentais que j'avais une chance avec une fille pour faire l'amour. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir saisi les opportunités de rentrer en relation avec les filles qui me faisaient de l'effet lorsqu'elles se présentaient à moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter n'avoir donner raison qu'à ce que j'entendais venir de la bouche des autres comme étant la seule et unique version de la réalité que je me devais de suivre. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir saisi l'opportunité de dire à Sandra Bérubé que je voulais faire l'amour avec elle. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir saisi l'opportunité de dire à isabelle martelle que je l'aimais et que j'aurais aimé être son "chum". Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir saisi l'opportunité de dire à Christine Charlebois que je l'aimais et que je la trouvais à mon goût. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir su trouver le courage pour dire à Christine Charlebois que je l'aimais et que j'aurais aimé sortir avec elle. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir laissé mes peurs et mon statut de rejeté prendre le dessus sur moi lorsque j'étais en la compagnie de Christine Charlebois et qu'en raison de cela, que je me considérais indigne de considérer l'idée même d'être aimé et apprécié par elle.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir laissé mon mental prendre le dessus de mes intentions lorsque j'étais dans la compagnie de Christine Charlebois. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir vécu une histoire d'amour avec Christine Charlebois. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir laissé la peur de ce que les autres allaient dire – ceux qui me niaisais et me ridiculisait - si j'avais exprimé jusqu'à quel point j'étais en amour avec Christine Charlebois. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir eu peur des réactions des autres élèves si ils avaient été au courant des mes sentiments pour Christine Charlebois. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir eu peur des réactions de Christine Charlebois si je lui avais dit que je j'étais amoureux d'elle. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir supprimé mes désirs sexuels et mes désirs amoureux par peur d'être rejeté par celles que je trouvais à mon goût. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir supprimé mes désirs sexuels et amoureux sous la croyance que je suis supérieur à ces "impulsions bestiales". Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir permis de m'empêcher de saisir les opportunités qui se sont présentés à moi pour rentrer en relations avec des filles, sous le prétexte que cela n'était pas ce que je voulais être, sous le prétexte que l'image que je me faisais de moi-même était "supérieur" à ces désirs qui me rongeait de l'intérieur. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir donné raison à mes désirs ressenties en tant qu’impulsions énergétiques intérieure, lorsque ces derniers se sont manifesté en moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir donné raisons à mes désirs sexuels, mais d'avoir donné raison à mon mental qui me disait que j'étais « supérieur » à ces désirs. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir limité mon expression à des idées de supériorité spirituelles plutôt que de vivre ce que je voulais vraiment vivre du plus profond de mes trippes lorsque j'étais en compagnie de filles que je désirais. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir donné plus d'effort pour réussir mes études primaires. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir donné plus d'effort pour réussir mes études secondaires.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir donné plus d'effort pour réussir mes études collégiales. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir donné plus d'effort pour réussir mes études universitaires. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir passé une vie sous l'idée que je ne suis pas assez populaire pour me valoriser dignement en tant qu'être humain. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir passé une vie à regarder la vie passer devant moi plutôt que de m'impliquer activement dans la vie. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir imposer des conditions mentales à atteindre avant de m'exprimer sans relâche et activement dans la vie. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir imposer la condition de devoir être dans une relation avec une fille avant de participer activement dans la vie. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir attendu toute ma vie pour avoir une blonde avant de m'impliquer dans la vie. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir vécu une vie passive parce que je n'ai jamais réussi à avoir une blonde pour une période suffisamment longue pour me donner l'impression que j’en avais une. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir réduit mon expression à avoir ou ne pas avoir de blonde. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir passé ma vie à rechercher passivement la compagnie des autres parce que je ne voulais pas m'impliquer avant d'avoir atteint les conditions que je m’étais fixé. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir défini comme étant trop laid pour travailler. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir défini comme étant trop laid pour exister. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir défini comme étant trop laid pour m'exposer dans un environnement de travail avec d'autres employés.
Je me pardonne de m’avoir permis d’avoir peur de m'exposer dans un environnement de travail avec d'autres employés. Je me pardonne de m’avoir permis d’avoir peur de revivre le rejet que j’ai vécu lorsque j’étais dans un environnement « commun » comme celui à l’intérieur duquel je me trouvais lorsque j’étais dans des institutions scolaires, à l’intérieur desquels j’ai vécu des expériences de rejets. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir donné tant de pouvoir au paraitre, avant de considérer "l'être" véritable que je suis en vérité et en toute honnêteté. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'être séparé entre le paraître et l'être pour éventuellement faire en sorte que je me sois perdu dans l'illusion du paraitre au déni de l'être que je suis vraiment. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir fais l'amour lorsque j'étais adolescent. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir fait l'amour avec Fannie Labrosse, ma cousine. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir eu des fantasmes sexuelles auprès de ma cousine, Fannie Labrosse. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir voulu faire l'amour à ma cousine alors qu'elle était âgé de 10 ans et que j'en avais 20. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir eus des pensées pédophiles depuis ce temps. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir désiré faire l'amour à des fillettes qui ressemblais à ma cousine Fannie Labrosse. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir imaginé Fannie Labrosse nue et faisant l'amour avec moi lorsqu'elle était encore une fillette.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter m'avoir masturbé à plusieurs reprises en m'imaginant faire l'amour à ma cousine de 10 ans.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru qu'un jour je ferais l'amour a ma cousine. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir encore des désirs sexuelles lorsque je pense à des petites filles nues. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir demandé de l'aide lorsque je savais que j'avais des pensées pédophiles. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir téléchargé des images de jeunes fillettes nues dans mon ordinateur. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter m'être masturbé devant des vidéos ou de jeunes fillettes nues faisaient l'amour à de vieux adultes. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir caché ce problème à tout le monde qui me connaissais. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir penser que je ferais l'amour un jour a une petite fillette. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir voulu aller a la plage ou au glissade d'eau, seulement pour regarder le corps des petites fillettes se déambuler devant moi en petite tenue. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir imaginé le corps des petites fillettes nues alors que je me promenais dans la ville, dans les plages ou dans les parcs aquatique.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir rêvé à des fantasmes sexuels ou je faisais l'amour à de jeunes fillettes. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir continué a me masturber en train de regarder des images de jeunes filles nues devant mon ordinateur, alors que je savais amplement que cela était mal. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir écouter ma raison lorsque je me masturbais devant les images de jeunes filles nues à l'écran d'ordinateur. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir écouter ma raison lorsque je me masturbais devant des images de jeunes filles nues tout autant que des images de femmes nues devant l'écran d'ordinateur. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas avoir réalisé que de me masturber contribuait à la situation actuelle d'abus et de viols dans le monde. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir placer la tête "sous le sable" lorsque le sujet de pédophilie ou de masturbation se présentait à moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir caché de ma véritable nature lorsque j'étais confronté à ma propre malhonnêteté. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir eu peur d'exprimer et d'exposer le monstre que je suis en mes pensées pour avoir eu des pensées et des actions aussi ignobles. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir permis de me cacher de mon ombre. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir permis de croire que j'étais la lumière. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de ne pas m'avoir permis de réaliser que je voulais être la lumière seulement pour balancer les pensées négatives et ignobles que j'avais à mon égards et à l'égards de la vie en général.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter d'avoir cru en la spiritualité comme étant ma véritable nature parce que je ne voulais pas faire face à toutes les pensées ténébreuses qui régnaient dans les abîmes de mon âme. Je me pardonne de m’avoir permis de croire que j’étais les pensées ignobles qui régnaient dans les abîmes de mon âme. Je me pardonne de m’avoir permis de croire que je suis les pensées qui règnent dans mon âme. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir réfugié dans la spiritualité pour cacher la honte que j'avais de tout ce que je me permettais de faire et de penser. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter d'avoir été un hypocrite à toutes les occasions ou un individu qui était proclamé comme étant pédophile, se faisait huer par les autres, auquel je participais pour cacher les pensées pédophiles que j'avais. Je me pardonne de m’avoir permis de participer à l’hypocrisie de ce monde. Je me pardonne de m’avoir permis d’être hypocrite par peur d’être ridiculisé ou rejeté l’expression honnête celui que je suis vraiment. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir pensé que de faire l'amour a une petite fillette allait me rendre heureux.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir pensé que de faire l'amour a une petite fillette allait me purger de ma souffrance. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir penser que de faire l'amour a une petite fillette allait me donner le pouvoir que je recherchais. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter m'avoir permis de définir le pouvoir comme étant ce qui s'applique et s'atteint qu'avec la force physique. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas m'avoir permis de me lever de ma condition mentale et d'arrêter tout comportements et toutes pensées qui ne sont pas qui je suis, mais qui sont seulement des programmes qui se recycles en mon subconscient jusqu'à ce que je décide autrement - jusqu'à ce que je décide d'arrêter définitivement d'y participer. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que j'allais seulement être libéré lorsque j'allais mourir, comme par magie. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que la mort soit la seule chose qui pourrait me libérer de l'enfer qu'est ma vie sur terre. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que j'allais être davantage capable d'élucider mes problèmes terrestre seulement lorsque j'allais être dans l'au-delà.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que la mort est la seule chose qui puisse me sauver. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas m'avoir permis de prendre la responsabilité de mes actions ici même et d'arrêter une fois pour toute d'y participer en mon mental. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru à tout ce qu'on m'a dit que j'étais. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir définis et de m'avoir limiter comme étant ce qu'on ma dit que j'étais. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que j'étais incapable d'avoir ce que je veux dans la vie. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que j'étais stupide en raison des faibles notes que j'obtenais lorsque j'étais au primaire, au secondaire, au cégep et à l’université. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir cru que j'étais inférieur à ma sœur, puisqu'elle est apparemment plus belle que moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir exprimé une expression d'infériorité - dans ma démarche, dans ma voix, dans mes paroles, dans mon attitude, dans ma présentation - lorsque j'étais en compagnie de gens que je considérais comme étant plus beau que moi, donc supérieur a moi. Je me pardonne de m’avoir permis de définir les gens que je considère comme étant plus beau que moi comme étant supérieur à moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'être laissé abattre avant même d'avoir essayé de me lever lorsque j'étais confronté à des gens qui me ridiculisaient auxquelles je jugeais comme étant plus beau que moi. Je me pardonne de m’avoir permis de figer mon expression sous la tutelle de l’anxiété lorsque j’étais devant des personnes que je jugeais comme étant plus belle que moi. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir limité à l'apparence comme étant la gauge de mon expression.
Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir étudié et participé avec plus de détermination lorsque j'étudiais en informatique pour devenir informaticien. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir donné plus d'effort alors que j’étais aux études, pour m'assurer un meilleur avenir que celui à l'intérieur duquel je me trouve en ce moment. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas m'avoir donné à fond aux sujets et aux exercices qui étaient destiné à me forger un bon avenir. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir permis de vivre le moment présent, sans aucunes considérations du futur parce que j'avais peur d'y penser. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir peur du futur. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir permis d'utiliser l'excuse de "je vie pour le présent parce que le présent est tout ce qu'il y a" pour cacher ma peur du futur. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir eu peur du futur par peur d'être un adulte. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir eu le désir de me tuer plutôt que de vivre en tant qu'adulte. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir favorisé la mort à la vie d'adulte. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir inséré toutes mes peurs à l'intérieur de ce que je percevais comme étant un adulte. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter ne pas avoir su arrêter ma pensée lorsque j'étais conscient qu'elle plongeait dans la folie. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir alimenté la croyance que je suis un être supérieur, en influençant mes amis à croire que le projet "code conscience" allait véritablement se réaliser alors que je savais très bien que c'en était impossible. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter avoir bâtit mon identité autour de cette expérience où j'étais si loin dans mon esprit, que je me croyais comme étant Dieu. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir séparé des autres autour de moi en tant que qui je suis vraiment. Je me pardonne de m’avoir permis de regretter de m'avoir isolé des autres par peur d'être ridiculisé et rejeté.

1 commentaire:

  1. je regrette aussi et j’écris ma poésie métaphorique qui symbolise mon vécu dans le passé,bien jouer

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